Fruits de vie, vampire et coupe au bol
Bon, reprenons. Le plus important est toujours là, à nous jouer des airs à chier sur sa guitare mal accordée. Sookie, Rocky, Mekhi et Nickie sont là aussi.
Et autre chose importante, enfin, les fruits de vie font leur apparition.
« Ouuuuh c’est joli, ça brille et ça a une auréole ! »
Oui hein, ça valait l’attente !
« C’est clair, j’ai l’impression de bouffer un ange. »
Oui… c’est une approche…
« Ouais. Non. En fait je suis super déçue. »
Bah quoi ?
« Je rallonge mon espérance de vie ? C’est quoi ce blabla ? »
Bah un peu quand même.
« Une journée. UNE PUTAIN DE JOURNEE. Combien de journées j’ai perdu pour au final en gagner une ? »
Ca s’appelle investir sur le long terme. Comme lorsque tu t’es fait Renauld.
« Non. Ca, ça s’appelait un calvaire. »
Oui, aussi, certainement.
Et puisqu’on a gagné une journée, pas de raison pour qu’elle soit différente des autres : on appelle tout le répertoire masculin de Jeusky, et on lance des appâts un peu partout.
En direction de Carl Abbot, en l’occurrence, ça a mordu.
Et ça tombe bien, puisque qu’avec Hector, on est plus près de la fin que du début. Enfin… il est là depuis peu, donc tout est relatif.
Et alors que Rocky est le seul à daigner porter un quelconque intérêt à Sookie, nous découvrons la raison de la présence de Mumu la veille au soir : un chien est venu crever sur notre lot. Un fantôme de plus pour tenir compagnie à tous ces humains translucides.
Et là, c’est le drame.
Et comme un drame n’arrive jamais seul, Renauld tente de foutre le feu à la maison, mais se souvient ensuite que tant que sa fille vivra dedans, il y aura autant à perdre qu’à gagner.
Il estime donc que la vie de sa poupougne vaut mieux que voir la mort de Rocky, Mekhi, Nickie, Hector et Carl. C’est mignon. Mais ça nous épuise tout le monde, les alertes incendie à 4 heures du matin.
Petit point sur la descendance ? Ok. 1,5/3. Peut mieux faire.
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OMG... Sookie? Quel malheureux... départ?