Si tu ne vas pas en Egypte, l'Egypte viendra à toi !
Ah bah voilà, on surveille l’égo d’Ange et on rate les copains qui se font cramer la tronche, bravo.
Cheap : « Non mais meeeerde Hanyo, j’étais en train de le désactiver, tu pouvais pas attendre 5 minutes ? »
Hanyo : « Paaaaaabbbbbbzzzzz possibbbzzzzzzzz, coffrebbzzzzzzzzz au bouuuubbbzzzzzzz du couloirbbzzzzzzzzzzz. »
Quelque chose me dit que je vais longtemps regretter de l’avoir ouverte, cette malle démoniaque.
Hanyo : « AHAHAH, la bonne blague, c’est là qu’on voit que t’es ma double hein, on a le même humour, ahahahahah ! »
Euuuh… disons que lorsque la momie t’a fixée dans les yeux et que de la poussière est passée de sa bouche à la tienne, ça t’a pas semblé un peu au-delà de la mauvaise blague ? Non ? Bah si.
Hanyo : « Putain. Je vais crever. »
Bon, Misky est appelée sur place en renfort. Parce que quand même, on va pas laisser ma moi-sims comme ça, on va un peu tenter de trouver de quoi la soigner, la pauvre.
Hanyo : « Bon, déjà, c’est pas au fond de ce puits. »
Étonnant hein. On est dans un défi d’Intell là hein, pas dans Barbie fête des fleurs. Ca va être un peu plus complexe que ça à trouver, crois-moi.
Voilà qui me parle. Je ne demande pas à être privilégiée, juste à survivre.
Mais je crache pas non plus sur une nouvelle maison, en fait.
Hanyo : « Sûre ? »
On en reparlera lorsque tu auras des lits à ne plus savoir qu’en faire et une cuisine dans laquelle on peut CUISINER. Plonge la tête la première, l’amie, plonge comme tu n’as jamais plongé, plonge comme si ce devait être la dernière fois !
Hanyo : « Je vais mourir ?! »
Mais non, c’était une envolée lyrique, rhooo, trouillarde.
Hanyo : « Bon sang ! Un sol en galets ! »
Non mais vraiment, j’en viens à me demander si c’est une si terrible nouvelle que ça, ta future mort.
Hanyo : « Ah bah géniale la nouvelle maison, déjà on met trois plombes à y parvenir, mais en plus personne ne peut en sortir, merveilleux. »
Non mais… franchement… je suis déjà fatiguée, là.
Au moins on n’aura pas foutu en l’air des lunes pour rien, en plus de la maison, on a droit à des poivrons. Une fois récoltés, c’est bien beau tout ça, mais faudrait peut-être voir à profiter des lits pour ensuite continuer l’aventure, parce que j’en connais qui ne sont plus bons à rien lorsqu’on leur enlève ma double.
En toute modestie, évidemment.
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Du premier coup tu as été maudite ça c'est pas de bol