Le jour où on triche un peu avec les heures mais qu'au final ça change rien.
M’enfin ! Avant de penser aux éventuelles prochaines journées, tentons déjà de nous débarrasser de l’énigme 2 dès le jour 2. Ce sera toujours ça de fait.
Ok, alors attendez, je baisse mon store, avec le soleil derrière (la vache, premier jour de soleil depuis au moins 10 jours et c’est comme par hasard lorsque je joue !), j’y vois quedal.
Bon, la tombée de la nuit, c’est bon, on l’a, il est 1h du matin. Et pour l’après-midi… s’il est 1h à Chamberville, on va dire qu’il est… pfoupfoupfouuu… allez, 16h à Vancouver, Vancouver est au Canada, Intell est canadien, ça passe, on est l’après-midi pour au moins l’un d’entre nous. Affaire réglée.
Non. Non. Perso, je préfère encore fixer le mur que voir ce qui nous attend.
Bizarrement, lorsque mon crush crame, ça m’incite à un peu regarder, quand même. Je suis donc potentiellement une petite-amie perverse psychotique, c’est bon à savoir.
Perverse psychotique, ok, mais qui sait se servir d’un extincteur.
Ok, donc les pièges de ce défi n’aiment juste pas les lesbiennes. Bravo, belle mentalité.
Les défis d’Intell, des défis qu’il vaut mieux pas être daltonien pour jouer. Ni lesbienne.
Encore que, pour les lesbiennes, ça commence à se tasser. Et non, je ne parle pas de ma cellulite.
Tiens ! Prends ça, sale mâle ! Girl power !
Non mais non, ça devient malsain, cette attirance pour l’extincteur. A tous les coups on va encore me trouver un symbole phallique là-dedans, à base de ‘‘oui, vous compensez votre absence de pénis en manipulant un long tuyau qui crache une matière blanche, la figure parentale masculine est manquante dans votre existence, votre complexe d’Œdipe s’est dirigé vers votre mère, blablabla’’…
Et c’est peut-être pour ça aussi que je m’inflige des trucs pareils… Absence de figure paternelle. Alors que je vois mon père tous les jours. Ne cherchez jamais à contredire ce qu’un psy vous dit. JAMAIS.
Lesbienne jusqu’au bout hein, y’a qu’à voir la tronche que je me paie lorsque Cheap utilise son gros tuyau sur moi.
En attendant, on a tous de bonnes tronches de gagnants.
Cheap : « Même que moi, je me la pète parce que j’ai réussi à traverser sans me faire électrocuter. »
Ca compense avec ta demi-douzaine d’immolations par le feu.
Et l’autre qui nous nargue dans ses messages. Alalalaaa… toi mon gars, tu vas payer dans la prochaine mission. D’autant que bon, 4h pour en arriver à bout, c’est pas non plus ce que j’appelle une épreuve insurmontable, hein.
(oui, j’ai percuté après coup qu’il y avait peut-être un sens au message de départ… donc le Soleil se couchant dès 18h30, 4h, c’est bon, on dépasse pas la journée, non mais oh)(de toute façon, on n’est pas salariés, le message ne nous concernait pas)(merdàlafin)
Devoir s'y remettre demain, ça n’enchante pas tout le monde, en tout cas.
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