Où il règne comme une ambiance de merde...
Voilà, c’est en fait maintenant que les choses se compliquent : quand on n’est plus dans un tombeau et que tout le monde laisse libre cours à ses plus bas instincts. Dans notre cas, la lessive.
Ou les troubles obsessionnels compulsifs, au choix.
Ange : « J’aime pas les gens sales. Tu es sale, Misky. »
Misky : « Regarde-toi avant de parler, morue. »
Ange : « Maiiiiiiis, comment tu me parles ! Hanyo ! Regarde comment elle me parle ! »
Elle a raison. Ta barre d’hygiène est plus basse que la sienne.
Ange : « Mais… mais… mais… »
Misky : « Pourtant, avec le caractère de merde que je me trimballe, c’est pas comme si y’avait pas matière à trouver sur quoi m’attaquer, hein, tu fais vraiment aucun effort. »
Décidément, la propreté est un peu l’obsession de tout le monde, ici. On en reparlera lorsqu’ils passeront la journée à déambuler couverts de suie sans daigner prendre une douche rapide.
Et pendant qu’entre Misky et Ange, ça ne s’arrange pas…
… Des rapprochements imprévus se mettent en place, sous les hurlements de Cheap et d’Intell qui eux aussi, ont quelques difficultés à parler sans échanger des noms d’oiseaux.
BON. On va peut-être voir à tenter de rétablir une ambiance saine dans cette baraque, parce que là on n’a même pas fini le premier jour que déjà 4 personnes se détestent, et 2 autres ne pensent qu’à se rouler des pelles.
Non Ange, pas toi, pas la peine de me fixer comme ça.
Je me sens vachement écoutée là, pour le coup. J’en ai marre. Je comprends que mon double aille se coucher, et d’autant plus avec Mimi qui depuis le début, ne se dispute avec personne.
Misky : « Mais… ils ont pris tous les lits ! »
Ah bah ouais hein, excuse-nous, mais j’en connais 3 qui doivent reprendre l’aventure dans quelques heures, ce serait bien qu’ils pètent la forme, quand même.
Misky : « Mais je vais dormir où, moi ? »
Estime-toi heureuse : Ange, dans sa grande inconscience, a totalement zappé le canapé du salon et est partie se coller sur le banc en extérieur.
Si si, je vous assure. Et de son plein gré, en plus.
Ce qui laisse donc le canapé du salon à Misky. Ca vous apprendra à passer la première journée à vous cracher des noms d’oiseaux au visage, non mais. Et d’autant plus lorsque certaines autres personnes tentent de dormir…
… autant dire qu’on n’a aucun remord à bouffer nos chamallows en gueulant pour réveiller Ange, qui est quand même pas mal responsable de cette ambiance à chier. Basse vengeance, je sais. On ne tiendra jamais 20 jours sans s’entretuer.
Index de l'histoire
Commenter

Ah ben bravo! C'était risqué de la part d'Intell de n'autoriser que les pires traits qui rapportent le plus de point. Fallait s'y attendre!