Les voici, les voilà, les visiteurs sont là...
Cody : « Lorraine, je ne te supporte plus ! »
Lorraine : « Mais qu’est-ce que tu me sors, ma pauvre ? Y’a que chez toi que ça a un effet hein, moi je m’en fous de ton avis, et ma vessie tout autant. »
Cody : « Ah ouais ? Bah c’est ce qu’on va voir ! »
Cody tire sa puissance de la haine que lui portent ses ennemis Alors oui, forcément, face à ça, personne ne fera jamais le poids, je pense.
Cody : « Qu’est-ce que t’as, l’ovin omniscient ? Tu veux que je vienne te chercher sur ton petit nuage et que je te pète les rotules divines, toi aussi ? Attention hein, je suis intouchable ! »
Tu sais qu’en trois seconde, je peux te tuer ? Oui ? Non ? Réfléchis-y.
Cody : « J’en ai marre ! C’est tous des cons dans c’te jardin de merde ! »
Et donc, tu fais payer ça à notre poubelle. Ok. Dès qu’on sort officiellement de là, tu iras la ramasser, je te préviens. Mais en attendant, tu retournes au jardin, t’es bien gentille, la surexcitée.
Jardin envahi par les visiteurs, au passage. C’est à peine si on a encore la place de faire notre sport tranquille.
Et après une looongue journée à tenter de faire fuir ces maudits visiteurs, on reprend nos palpitantes aventures.
Ou pas.
Lorraine, enfermée, trouve quand même le moyen de se rendre utile. Prends-en de la graine, Cody.
Cody : « Mais j’ai pas de muscles moi ! Pourquoi tu demandes pas à Intell de libérer Lorraine ? »
Parce que c’est tellement plus drôle de voir un petit poulet atrophié tenter de libérer sa pire ennemie…
Et de le voir s’énerver parce que c’est ledit poulet atrophié qui se tape tout le sale boulot pendant qu’Intell en tire les bénéfices.
Intell : « La porte n’est toujours pas ouverte. »
Cody : « Oui, je vois bien. C’est malheureux d’ailleurs, j’avais une terrible envie de gifler Lorraine. »
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T'aurais dû enfermer Cody, les autres auraient été tranquilles pendant 24 heures !