(-2)+2 = une maison quand même bien trop bruyante.
« Hey frérot salut ! Alors la vie à côté, c’est comment ? L’herbe est plus verte à 50 mètres ? »
« T’as même pas idée ! Y’a pas de potager, alors l’herbe vit sa petite vie tranquille, elle doit juste supporter le trio infernal félin ! »
« Il s’est débloqué Flamme ? »
« En partie. Il peut avoir faim et sommeil, ainsi que tous les autres besoins, mais il se refuse toujours à vieillir. Je crois que la Muerte l’a oublié. »
« Ahahah, un peu comme maman, on n’en voit pas le bout, ahahah ! »
Euh, Camille…
« Bah quoi ? Qu’est-ce que vous avez tous à me regarder comme ça ? Elle était pas bonne ma blague ? »
Heureusement, Sifoarey est arrivée après. Et elle s’est elle-même mise à parler du temps qui passe, tout ça. Ces choses que les mamans disent et qu’on préfèrerait ne jamais entendre. Sauf que là en l’occurrence, elle ne parlait pas d’elle mais de Cappucina, qui n’est pas si vieille que ça.
« Ouais, elle est pas si vieille que ça, mais en attendant d’y voir plus clair avec cette histoire de matriarcat et de lignée féline, faut qu’elle nous fasse une chatte. Donc il nous faut de la place. Dooonc, Etienne, si tu le veux bien… »
« Penses-tu ! J’en ai déjà 3, je suis pas à 2 près ! Et on peut compter sur Chocolatine pour les élever comme ses petits, ils seront heureux comme tout avec moi. »
Et à 50 mètres de la maison, ne l’oublions pas.
Je t’interdis de me fixer comme ça lorsqu’on parle de baleines. Non mais oh.
Oh bah oui, dès qu’il y a matière à gueuler, Laurent est là, pas de doutes. En revanche, il nous ramène assez peu souvent 40.000 simflouses.
« Alors voilà, Laurent pousse une gueulante et il a 40.000 simflouses, moi je trime comme un damné et j’ai droit à 448 simflouses. »
Attends un peu d’être ultra-sims, et on en reparlera.
« Oh mon Dieu Hanyo, ça fait mal t’as même pas idée ! »
En effet, je te le confirme, j’ai même pas idée.
« C’est fini, plus jamais ça, Aymeric ne me touchera plus jamais ! »
C’est ce qu’on va voir. T’en as encore 9 à faire. Courage.
Au temps pour moi, 8.
« Oh ! Mais comme elle est mignonne ! »
Bah tiens, ils disent tous ça, même Carmen et Georges me l’ont sortie, celle-là.
« Frérot, excuse-moi de t’interrompre pendant ta chasse à l’insecte, mais je voudrais bien que tu me tiennes ça s’il-te-plait, j’en ai un autre à évacuer en urgence. »
Et c’est tellement urgent que tu as pris le temps d’enfiler ta tenue d’extérieur.
« Tu n’imagines même pas le bonheur que c’est que d’accoucher en doudoune fourrée de plumes d’oies. »
Ah, parce que c’est un bonheur maintenant. Faut savoir.
« Le duvet d’oies, ça embellit tout. »
Alors pourquoi tu l’as enlevé ce coup-ci ?
« Parce qu’on a chaud, dedans, quand même. »
« Un bébé ? On m’a dit qu’il y avait un bébé ? Ma chérie ça va ? »
Oh bah oui elle va bien, elle prend même le temps de changer 3 fois de tenues.
« Ohmondieuohmondieuohmondieuohmondieu ! »
Ca n’est qu’un bébé, Benjamin.
« Oui, mais elle crie ! »
Evidemment, tu cours comme un dingue dans les escaliers, elle a peur.
Bon, et ils s’appellent comment les pitchounes ? C’est que j’ai un classeur à mettre à jour moi hein.
« Belle et Sébastien. »
Belle et… Sébastien. Oui. Quelque part je suis même pas étonnée.
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Ah des jumeaux,
ils vont s'amuser je crois