Où certains mauvais réflexes reprennent le dessus...
Oui parce qu’il reste quand même deux asociales à la maison : Cheap – qui a atteint le sommet de la compétence peinture – et moi-même. L’amitié, on y touche pas, c’est sale.
Je persiste à me demander d’où me viennent de telles idées de peintures.
Ahahah ! Pour la première fois, je fais une peinture qui vaut plus que celle de Cheap au même moment. Petit moment de gloire personnelle. Merci de me laisser savourer.
Ah bah voilà, il suffit que je mette 2 nouveaux fauteuils dans le salon pour qu’il rapplique, notre amical ami… Nous sommes le 22ème jour, le dimanche de la dernière semaine.
Kali : « Il se déchaine là, c’est la première fois qu’il nous pique plusieurs objets. »
Si ça l’amuse de prendre la commode hein…
Kali : « Ah non, il a pris le miroir juste à côté en fait. »
Ah mince, les snobs risquent la déprime là, même si on a encore, au bas mot, 15 miroirs dans l’inventaire familial…
Kali : « Fais gaffe le gros, je te surveille, t’as pas intérêt à piquer Canardo ! »
Je crois qu’il lorgne plutôt sur le rouleau de PQ, en fait…
Cheap reçoit à son tour son certificat d’excellence. Qui ne sent pas le poisson. Hélas.
Cheap : « Je suis l’excellence dans mon domaine. »
Oui, mais je te ferais remarquer que tu as déjà fait mieux, un tableau à 1100.
Cheap : « C’est pas ça l’excellence, espèce d’inculte. Je n’y touche pas, je le vends pas de suite, et tu vas voir la valeur qu’il va prendre… C’est ça, le talent, l’excellence, la perfection. C’est ça, CheapThrills. »
Bah alors Intell, tu fais quoi ?
Intell : « J’attends Michael. C’est un ado. J’ai juste à jouer à chat avec lui et c’est dans la poche. »
Et tu te rends utile en attendant en piquant quelques légumes. Je te reconnais bien là.
Et voilà, in da pocket. 4 nouveaux amis, objectif aléatoire fini !
Kali ! Non ! Je n’aime pas du tout la manière que tu as de regarder ce banc !
Kali : « Mais elle était trop belle cette table ! »
On peut vraiment pas vous laisser sans surveillance, hein… Allez zou, à l’institut, il faut qu’on parle. Tous.
Lorraine : « Je suis crevée ! On peut savoir pourquoi tu m’as fait rentrer Hanyo ? J’ai ma chaise longue qui m’attend au 98avenue Plénozas ! »
Dès que les autres seront rentrés dans l’institut, je t’expliquerais. Et dès que Kali aura fini de se bruler la main sur la gazinière, aussi.
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On voit que dès qu'on les laisse sans surveillance, y'en a qui s'amusent !