Non mais oui, allez-y, bugguez donc !
Une famille toujours aussi unie. Et libérale. Oui, les voisins doivent jouir d’une vue imprenable…
Amessela n’est pas là pour fêter l’anniversaire de sa fille, mais un certain Yvan s’est incrusté…
« Oooh mais qu’elle est jolie ! Elle fera une sacrée jeune femme ! »
YVAN !
« Yo ma sœur, passe devant, je t’en prie. »
« Merci Momo, je suis si pressée d’aller à l’école ! »
A 15h, en rentrant, elle me suppliera de ne plus jamais y retourner.
Tiens, des voisins viennent… nous souhaiter la bienvenue.
« Mouais, pas pendant ma série en tout cas, z’ont qu’à attendre… »
D’un autre côté, c’est pas comme s’ils n’étaient pas déjà venus hein.
J’ai peur. Où vont les enfants une fois franchi le bout de la rue dans leur bus transparent ? Ce monde est rempli de recoins que je ne connais pas. Ca m’inquiète.
En revenant le lendemain rendre visite à Amessela, Eléonore nous fait un caprice de bambin. Mais VRAIMENT hein. Elle ne veut plus bouger. Seule solution : sortir le poupon magique et la faire devenir enfant.
Et à peine « réparée », notre demoiselle pique une colère. Prochain coup je la laisse à l’état végétatif de bébé. Ca m’apprendra à rendre service…
Elle a beau frimer, se la raconter, et même s’arracher la jambe gauche pour mieux faire son poirier, ça me laisse complètement indifférente, et mon simspapa également. En revanche, Moïshe, comme un idiot, encourage sa tyrannique de sœur.
Elle a mal pris mes reproches. A peine 2 jours passés enfant-bébé-enfant qu’elle décide subitement de devenir ado. Elle m’aura tout fait.
Une fois que Moïshe eut fini de la regarder de haut en bas, se rappelant que malgré son aspiration, sa sœur reste sa sœur, Eléonore a persisté à se regarder le nombril en solo. Rien à voir avec Yvan hein.
A peine ado qu’elle se jette sur le frigo. Et ça rime en plus. Une future goinfre ? Non, pire…
Ah bah oui, le frigo se vide, et donc elle a une excuse pour appeler le livreur. Malgré son aspiration richesse, c’est les mecs qui la branchent.
Le livreur arrivé, elle se jette sur lui telle la famine sur l’Afrique noire. Le pauvre homme ne comprend pas très bien ce qui lui arrive, et Eléonore a les moyens de lui faire comprendre…
Ah, revoilà le côté aspi richesse qui ressort ! Le livreur ne la remarque pas ? Pas de souci, on sort les biftons ! Aucune dignité, aucun amour propre… Je l’aime !
Un autre qui va pas très bien, c’est Moïshe. Sa sœur dort paisiblement, et il lui prend l’envie de la féliciter d’être devenue une charmante jeune femme, comme ça, à 2h du mat’.
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